On a des chefs imprévoyants. Ils n'investissent ni dans la jeunesse, ni dans l'économie dont on a besoin, ni dans la recherche. La droite emboîte le pas à l'extrême-droite. On est mal partis.
Envoyez-moi le livre que vous venez d’écrire. En retour, je vous enverrai mon livre « Elsa Triolet et la vraie vie ».
Nadine
Trintignant a été rongée par la culpabilité de ne pas avoir vu les signes de
tristesse que lui envoyait sa fille. Marie croyait si fort en sa mère (p 150). Mais
ni l’une ni l’autre n’ont imaginé cette fin sordide. Elle reproche à Cantat d’avoir
insufflé la haine dans le cœur des parents de Marie.
Voici
la description de Bertrand Cantat par Nadine Trintignant.
Elle
le qualifie de « Meurtrier, de Il, de Homme, de Bertrand, de Tueur, de
Brute. ».
Il a
eu envie de la vitalité de Marie. Il a été attiré par son amour de la vie. (p
41). Malheureusement, c’est un jaloux morbide (p 45). Nadine Trintignant
revient sur sa jalousie de tout (p 52). Il a rendu Marie malheureuse de tourner
des films. Elle était « crevée » le matin (mot terrible, qui a deux
sens, celui de la fatigue et de la mort). Il l’a rendue inquiète (p 14). Il lui a donné
la peur et la honte. Violent, il la tourmentait (p 27). Il a été jaloux du
métier de Marie (p 12). Il la dominait et la rendait fautive de son métier (p
28).
Nadine
Trintignant pense que Cantat était paranoïaque. (p 29). Il a caché sa
sauvagerie (p 57). Il souriait tout en les détestant (p 87). Il voulait isoler
Marie (p 58). Elle insiste sur sa barbarie (p 17). Il cherchait les femmes
indépendantes pour les écraser (p 59). Il n’est qu’une brute qu’elles avaient
prise pour un homme (p 86).
Bertrand
Cantat aimait la castagne, et aimait frapper les femmes. (p 30). En cas de
crise de violence, il lui arrivait de se taper la tête sur les murs (p 50).
Il a
déshabillé, couché et planqué Marie dans le lit, alors qu’elle était dans le
coma (p 24). Il l’a traînée dans le lit, avec ses ecchymoses, et a camouflé son
visage sous un linge. Il a ensuite téléphoné quatre heures durant, cherchant
une solution pour lui. (p 53).
Les
hommes ont la culture et l’éducation. Mais ils peuvent être de droite comme de
gauche, ils partagent cette violence (p 139).
Le confinement ne fonctionne pas avec l'éveil de l'esprit...
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Police
La famille veut partir ou rentrer de week-end ou de confinement.
La police n'inspire pas confiance...
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« Fête le
pas »
Ou
« Ne le
faites pas »
Ou
« Fête le
oui »
Ou
« Faites la
fête ».
etc….
Le confinement et
les injonctions gouvernementales sont détournées.
Tag
Fécamp
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Lannion
"En beurre ...amour"
Ah! Une crêpe au beurre. Miam!
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Lannion
"Eveil et vie"
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Lannion
"La palissade en contre-plaqué"
se transforme en
"Pâle hissade
en con
très plat
qu'est..."
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Lannion
"Libre à toujours"
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Lannion
"Non c'est non"
En Bretagne, les hommes sont sourds. Aussi.
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Lannion
"Personne ne peut emprisonner l'esprit"
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Lannion
"Le Pipi et les chiens qui ne savent pas lire."
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Lannion
"Qui est Bansky?" (transformé en Banksy)
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Lannion
"Travail, utilisez votre cerveau"
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Saint-Malo
"Plus on cherche de réponses!
Plus il y a de questions."
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Saint-Malo
"Surcouf et l'Angleterre"
Il tague en lettres de sang le nom de l'Angleterre. La concurrence entre les deux pays existe toujours.
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Tag
Bretagne
Camaret
"BZH Libre"
La Bretagne libre. Je ne pensais pas que les Breton-ne-s continuaient à réclamer leur indépendance...
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Tag
Bretagne
Camaret
"FLB"
Le Front de Libération de la Bretagne s'exprime toujours.
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Tag
Bretagne
Camaret
"Enervé = NRV"
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Tag
Bretagne
Camaret
"Ferrand = Prison"
L’affaire
Richard Ferrand.
Après une audition de 15 heures, le président LaREM de
l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, a été mis en examen pour "prise
d'intérêts illégales" dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne le jeudi 12
septembre 2019. Il s'est dit "serein sur l'issue de la procédure, au
regard du classement sans suite de l'ensemble des griefs de la première
plainte" en octobre 2017, "d'autant plus qu'aucun élément nouveau n'a
été versé à ce dossier dans lequel il n'y ni préjudice ni victime".
C’est
tout à la fin de son livre qu’elle explique d’où provient son titre. Dans le
parc de Bagatelle, Françoise Hardy préfère un arbre qui s’appelle le désespoir
des singes*.
Le désespoir des singes se plante idéalement à
l’automne pour faciliter son enracinement et une meilleure reprise au
printemps. L’Araucaria araucana aime les sols bien drainés car il redoute les
excès d’eau. Il apprécie les situations plutôt ensoleillées et abritées du
vent.
Page
60 – Les journalistes de « Lui » :
Elle
est l’amie du photographe Jean-Marie Périer qui travaille à cette époque de
leur vie pour le journal « Salut Les Copains (et Copines, NDLR)». En
allant le chercher dans les bureaux qui deviendront ceux du journal
« Lui », elle y croise des journalistes « dont la misogynie et
le machisme affichés me paraissaient menacer la midinette que j’étais ».
Page
75 – Le baiser de Jean-Claude Brialy :
Elle
tourne dans le film de Roger Vadim, « Château en Suède », en 1963.
Jean-Claude Brialy est le fiancé de Françoise Hardy dans le film. Il la menace
de l’embrasser pour de vrai, « ce qu’il fit pour mon plus grand
déplaisir ».
Grâce
au metteur en scène Jean-Claude Tramont, elle rencontrera Salvador Dali et le
côtoiera plusieurs fois ensuite.
Dans
« son extraordinaire maison de Cadaquès, (elle eut, NDLR) le rare
privilège de dîner en tête-à-tête avec lui et son épouse Gala qui ne se
montrait jamais, ne se nourrissait que de riz à l’eau et ressemblait à une
momie, au contraire de son célèbre époux. »
Page
116 – Philippe Bouvard :
Elle
fonde une société qui produirait ses enregistrements que « Vogue
distribuerait ensuite ». Elle l’appellera « Asparagus pour
faire un pied de nez à Philippe Bouvard à qui je devais l’amusant surnom
« d’endive du twist » ».
Page
120 – Les féministes et le droit à disposer de leur corps :
Elle
pense que les féministes passent « sous silence – exactement comme le
discours puritain – le sort des enfants, alors qu’il devrait primer de loin sur
le reste ». Elle s’inquiète qu’une « femme veuille procréer à
n’importe quel prix, sans autre considération que celle de son besoin
omnipotent », et elle regrette que cela « témoigne d’un déséquilibre
dont l’être qu’elle mettra au monde sera assurément le premier à pâtir ».
NDLR :
Ouh la ! Disposer de son corps, pour les féministes, signifie le contraire
de ce que dénonce Françoise Hardy. La contraception et l’avortement dans des
conditions dignes de la santé des femmes, sont des revendications pour ne plus
subir des grossesses à répétition non désirées, avec l’éducation mal effectuée
d’enfants non souhaités et aimés. Que cela soit dans le cadre d’un couple ou
d’une famille monoparentale….
Page
237 – Un père avare :
Son
père était marié quand sa maman accoucha de Françoise. Elle ne le rencontrera
qu’à l’occasion de quelques fêtes dans l’année, pendant son enfance. « Ma
mère a beaucoup pâti de son avarice dont je perçus sur le tard le caractère
pathologique, mais, à l’en croire, c’était un grand sentimental à la larme
facile ».
Page
356 – Iggy Pop :
Elle
reste très fière de l’enregistrement de la chanson « I’ll be seeing
you », en 1997. « La réalisation de Rodolphe est parfaite, la
performance vocale d’Iggy exceptionnelle. »
Françoise Hardy & Iggy Pop –
“I´ll Be Seeing You”
Page
388 – La femme idéale selon Jacques Dutronc:
Elle
doit être « belle, courageuse, débordante d’énergie, (…) prête à sauter
dans un avion pour le rejoindre, et capable de cuisiner, réparer un toit, rempailler
une chaise, édifier un muret, peindre, coudre, panser, mille choses
encore… »
Page
32 – La vie d’un artiste en tournée :
Elle
s’inquiète pour son fils Thomas. Voyager le matin pour se produire le soir, passer
des pays chauds aux pays froids, « s’alimenter n’importe comment à
n’importe quelle heure, boire des coups après le concert pour
décompresser », tout cela inquiète la maman qu’elle est.